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JAUJAC
Visite du village - Le château de Rochemure et le château du Bruget

Venant d’Aubenas pour aller à Jaujac, il faut prendre la grande route du Puy qui suit la vallée de l’Ardèche, mais l’abandonner après quelques kilomètres, à l’entrée de Lalevade et suivre la route qui borde la vallée du Salyndre. Sur la gauche, dans la direction de Prades, on remarque un chevalement, vestige de l’exploitation du bassin houiller qui s’étendait sous les communes de Prades, Saint-Cirgues-de-Prades, Nieigles, Jaujac et allait même jusqu’à La Souche où l’on voit encore des affleurements de charbon sur les bas-côtés de la route qui remonte la vallée du Lignon et conduit à la Croix de Bauzon.

Jaujac : L'église Saint-Bonnet et le château de Castrevieille

L'église Saint-Bonnet et le château de Castrevieille

Notre point de rendez-vous était le parking situé en contrebas du château de Rochemure. Bâti sur les flancs du volcan de Jaujac, c’est le nouveau siège du Parc naturel régional des monts d’Ardèche. Nous étions une bonne cinquantaine de personnes. René Souleliac, adjoint au maire de Jaujac, nous attendait. Il devait être notre guide pour la matinée, consacrée à la visite du château de Castrevieille, de l’église Saint-Bonnet, du village et du Chastelas. L’après-midi était réservée à la visite des châteaux de Rochemure et du Bruget. Du parking, nous avons une excellente vue sur le château situé sur l’autre rive du Lignon, la rive gauche, plus escarpée et dominée par les ruines du Chastelas ; au loin, on aperçoit les rochers de Ladenne et de Courcousat, à droite on devine le volcan du Souilhol qui surplombe la station thermale de Neyrac.
René Souleliac nous présente rapidement son village qui compte au dernier recensement 1 181 habitants. Déjà au xviie siècle il avait un millier d’habitants et était devenu un carrefour important avec le développement des voies de communication vers Aubenas, Largentière et le Plateau, mais c’est dans la deuxième moitié du xixe siècle qu’il a été profondément transformé avec l’exploitation de la houille, le développement des moulinages et de l’artisanat. La population s’élevait au recensement de 1891 à 2 539 habitants.

Le château de Castrevieille

Le château de Castrevieille

Le château de Castrevieille

C’est un bâtiment de dimensions imposantes, un quadrilatère de 32 mètres sur 15. Sur le côté ouest, il est flanqué de deux tours rondes de facture différente, celle du nord-ouest est en assez bel appareil, alors que celle du sud-ouest est bâtie en pierres de rivière jusqu’aux deux tiers, puis en pierres volcaniques noires. À l’est, la tour carrée est de structure militaire du xive siècle. La façade sud est celle qui présente la plus belle ordonnance. Au rez-de-chaussée, au milieu du bâtiment, une entrée classique donne accès aux étages par un escalier monumental Henri IV à arcades et balustres, construit en pierres de grès au début du xviie siècle ; sur la droite en entrant, une salle voûtée montre une grande et très belle cheminée. D’après le vicomte de Montravel, auteur d’une monographie de Jaujac, les Castrevieille, coseigneurs de Naves, sont venus, on ne sait en quelles circonstances, mais très anciennement, au château de Castrevieille. Le plus ancien connu est Pierre, vivant en 1303. Après sept générations, la maison des Castrevieille tomba en quenouille et après diverses péripéties, il échut par héritage à Emmanuel de Launay, comte d’Antraigues. Comme il avait émigré, ses domaines furent vendus comme biens nationaux. Le château et le domaine de Castrevieille furent donc adjugés en avril 1797, par l’intermédiaire d’un prête-nom, à la comtesse de Viennois, soeur de l’émigré !

Château de Castrevieille - Départ de l'escalier

Château de Castrevieille - Départ de l'escalier

Il devint ensuite la propriété de l’abbé Monteil, puis de Madame Hély, sa parente. Il fut enfin acquis par la commune de Jaujac le 26 septembre 1880, afin d’en faire une école publique. Quelques années plus tard en 1890, les communs furent rasés pour construire à la même place l’école des garçons et ensuite l’école des filles dans la cour nord du château, les personnels enseignants étant logés au château. À partir de 1960, l’école des filles fut surélevée et des logements aménagés pour les enseignants au rez-dechaussée. La décision d’installer des gîtes ruraux ayant été prise, une première étape de la restauration consista à colmater les importantes fissures de la tour ronde côté sud-ouest et de la tour carrée côté sudest. En 1990, plus de la moitié de la toiture a été rénovée et les planchers des étages supérieurs remplacés par un parquet neuf. Des travaux encore relativement importants restent à faire pour le restaurer, mais tel qu’il est, malgré les remaniements opérés aux XVIIIe et au XIXe siècles, il a belle apparence et est un témoin apprécié de l’histoire de Jaujac.

L’église Saint-Bonnet

La première église de Jaujac dédiée à saint Sauveur fut acquise en 1255 par le chapitre de Viviers à l’évêque de Viviers. En 1275, elle se mettait sous la protection de saint Bonnet. Le plus ancien curé connu est messire Bonnet du Pré, témoin au mariage de Pons de Castrevieille le 8 février 1449. Pendant les guerres de Religion, elle fut détruite par les huguenots et rebâtie deux fois. La visite faite en 1715 par l’official d’Aubenas, Antoine Ferret, curé de Saint-Michel-de-Boulogne, nous permet de la connaître dans le détail : « Tournée au levant, ayant vingt-cinq pas de longueur compris quatre pas que contient le presbytère, six pas de largeur, bien pavée, voûtée blanchie couverte, éclairée par deux fenêtres, l’une ronde au fond de la nef, fort élevée, bien vitrée, l’autre au fond du presbytère, derrière l’autel bien vitrée, grillée… Le clocher est une grande tour carrée fort large, avec deux cloches l’une de sept, l’autre de vingt quintaux. »
L’église actuelle a été construite de 1848 à 1852, alors que la population de Jaujac s’élevait à 2 800 habitants, ce qui explique ses dimensions imposantes, cinquante-deux mètres de long sur vingt-quatre mètres de large. L’architecte avait conçu un édifice de style néoclassique caractérisé par une nef voûtée, deux collatéraux, un transept. Le conseil de fabrique, craignant qu’elle ne soit pas assez grande, modifia les plans et demanda un élargissement des voûtes en anse de panier. Aussi, peu de temps après la consécration, il fallut installer des tirants et des ancres en X. En 1897, le clocher s’écroule, il est reconstruit. Ses malheurs ne sont pas terminés, car il sera de nouveau ébranlé par la chute le 5 novembre 1963 d’un avion anglais parti de la base d’Orange pour regagner Londres. Victime d’une avarie, il est abandonné par son équipage et s’écrase sur le quartier actuel de la poste. On pénètre dans l’église par un narthex sur lequel repose une tribune. La nef comporte quatre travées et est caractérisée par des arcs doubleaux en anse de panier. Les collatéraux sont surmontés de voûtes d’arêtes. Le chœur est légèrement surélevé. Les vitraux représentent la naissance de Marie, sa présentation au temple, son mariage avec Joseph et l’Annonciation. Dans le décor du choeur on remarque les trois vertus, la foi, l’espérance et la charité. Au sommet de la voûte, une imitation du célèbre tableau de l’Assomption de la Vierge de Murillo. Enfin, l’église possède un orgue de 23 jeux. Il a été acheté par l’abbé Drevon en 1970 et provient d’une chapelle anglicane de Lyon qui dispersa son mobilier. De nombreux concerts sont donnés pendant l’été et s’il est actuellement en réparation, il devrait reprendre du service dès le début de la saison touristique.

Promenade dans Jaujac et Le Chastelas

Le vieux village et le Lignon

Le vieux village et le Lignon

Nous prenons la rue du Trible qui nous conduit sur laplace du Champ de Mars. C’est une place magnifique réalisée en 1880 sur le domaine de Castrevieille. Elle est plantée de platanes, marronniers et tilleuls. C’est là que se tenaient des foires renommées. Jaujac comptait alors dix moulinages de soie, deux corderies et tissages de laine, beaucoup d’ouvriers travaillaient dans les mines et un artisanat important lié à cette activité s’était développé. Sur la place, nous remarquons l’ancienne bascule publique, une fontaine et le monument aux morts qui rappelle le nom des cent tués pendant la guerre de 1914- 1918. Par une calade nous rejoignons une place et une fontaine portant le nom de saint Bonnet qui montre l’attachement des Jaujacquois à leur saint patron. Nous traversons ensuite le pont qui franchit le Lignon, pour aller sur le site ancien de Jaujac. Au passage, nous remarquons la plaque qui indique jusqu’où les eaux sont montées lors des grandes crues.

Le Lignon

Le Lignon

Coulée basaltique

Coulée basaltique

 

 

Sur la route qui longe le Lignon, un bâtiment abrite une turbine qui produit de l’électricité ; grâce à elle, les habitants ont bénéficié très tôt de l’éclairage électrique, deux lampes par foyer. Sur un terre-plein aménagé, des panneaux racontent l’éruption. Une grande coulée s’est échappée du volcan de Jaujac il y a plus de dix mille ans, a suivi le cours de la rivière et de son affluent, le Riouclar, et après un parcours de près de cinq kilomètres est allée buter sur la coulée du Souilhol qui avait barré le cours du Lignon quelques cinq mille ans plus tôt. Sur cette coulée, une des plus belles d’Europe, elle atteint parfois une hauteur de 40 mètres, on remarque du bas vers le haut les vraies colonnades de différentes sections, puis l’entablement et les fausses colonnades. Enfin, à la base, on peut voir le lit fossilisé du Lignon, c'est-à-dire son lit au moment de la coulée. Nous prenons ensuite une route qui nous mène au pied du Chastelas. Nous admirons une vue panoramique sur Jaujac avec, en toile de fond, le château de Rochemure, le cône égueulé du volcan de Jaujac et sur la droite, le Tanargue.
Le Chastelas était le château le plus ancien des seigneurs de Jaujac. Il y avait trois forts : la tour carrée, le château et le donjon, mais il ne reste plus maintenant que des pans de murs très écroulés de l’antique manoir. Albin Mazon indique le nom d’un certain nombre de ses propriétaires et signale, dans les comptes rendus des États du Vivarais de 1620-1622, une lettre du duc de Ventadour annonçant qu’il a fait l’acquisition du château au prix de 12 000 écus et qu’il désire en raser le donjon pour qu’il ne puisse plus servir aux ennemis du repos public.
Une tradition locale douteuse fait état d’une occupation par les Anglais, mais, pour le vicomte de Montravel, ni l’époque, ni l’armement ne conviennent. C’est pourquoi on peut penser avec A. Mazon « qu’après la destruction du donjon et pour le reste déjà qualifié en 1618 de maison et chazal en ruines, il a suffi de l’oeuvre du temps, jointe à l’appât des belles pierres, pour réduire l’ancien fort dans l’état où nous le voyons aujourd’hui ».

Le château de Rochemure et le Parc naturel régional des Monts d’Ardèche

Notre groupe se retrouve en fin de matinée au château de Rochemure, siège du Parc naturel régional des Monts d’Ardèche (PNR). Cet ancien domaine agricole est situé sur la coulée basaltique de l’ancien volcan et domine le village au-dessus de Castrevielle. De sa terrasse, au milieu de la verdure du parc, on aperçoit les maisons du village et les montagnes du Tanargue au delà du Lignon.
Nous sommes reçus par le directeur du parc, M. Xavier Bernard-Sans, qui nous fait d’abord la présentation détaillée des activités de cet organisme.
Il nous rappelle d’abord ce qu’est le PNR : un syndicat mixte regroupant 132 communes, 6 villes portes, le Conseil général, le Conseil régional et les chambres consulaires. Il est financé par ces organismes (pour les communes sur la base de 1 à 2 euros par habitant). Le Comité syndical qui gère le syndicat est renouvelable à chaque élection municipale, cantonale ou régionale. L’équipe du PNR est pluridisciplinaire. Sur les 22 salariés, 16 sont chargés de mission sur des thèmes comme l’agriculture, la forêt, le patrimoine naturel, les patrimoines culturels, le tourisme, etc. Sept communes (Malarce, Sablières...) sont dans le Parc national des Cévennes et devront choisir leur rattachement à l’un des deux parcs.

Le château de Rochemure

Le château de Rochemure

L’idée de la création du parc remonte à 1992, à l’initiative de castanéiculteurs soucieux de protéger et valoriser leur production. Ce projet soutenu par les élus a abouti à la reconnaissance par décret en 2001. La préservation du patrimoine naturel est à la base de son programme de développement durable : le parc doit préserver et développer les richesses communes à son territoire, territoire aux caractéristiques fortes (paysages, savoir-faire ruraux, histoire religieuse, volcanisme ancien, moulinages, etc.) Tout cela en liaison avec les associations et les populations locales. L’accueil pédagogique est important et beaucoup de scolaires y sont accueillis. Le Parc doit expérimenter de nouvelles formes de recherche, innover, aidé en cela par un conseil scientifique dans les domaines de la géologie, la botanique, etc. Les problèmes de paysage et de patrimoine intéressant bien sûr nos adhérents, leurs interventions sur ces sujets donnent lieu à des débats animés... par exemple, quid des chauves-souris et des églises ? Vous ne voyez pas forcément le rapport ! Pourtant, voilà que le PNR a fait faire un recensement de ces mammifères volants et constaté qu’ils se réfugient aussi volontiers dans les églises que dans les galeries de mines ! Que faire, mon Dieu, les chasser des églises, les héberger ?... Nous serons finalement d’accord avec M. Bernard-Sans pour dire que ce n’est pas le Parc qui met les chauves-souris dans les églises !
Et les anciennes mines ? Dommage que les archéologues n’y aient plus accès, c’est aussi un patrimoine important. Autres sujets abordés : les panneaux photovoltaïques, les éoliennes, les micro-barrages sur les rivières, le patrimoine industriel... Sur tous ces sujets, le Parc peut donner son avis, privilégiant en général les projets collectifs et situés en dehors des espaces naturels sensibles. Le guide du développement éolien devrait être rattaché à la charte du Parc.
Cette charte doit être révisée au bout de 12 ans ; prolongée de deux ans jusqu’en 2013, elle est donc actuellement en discussion (pour plus d’information voir le site Internet du Parc : <www.parc-monts-ardeche.fr>). Après ces discussions, le casse-croûte convivial nous réunit dans la grande salle de réunion au premier étage. Puis, c’est la visite de l’ancienne ferme, bâtiment en forme de U transformé au xixe siècle en château par l’adjonction d’un donjon. Dans un triste état quand le Parc l’a rachetée, elle est entièrement restaurée et a maintenant beaucoup de charme (enduits extérieurs à la chaux colorés, pierres apparentes par endroits...) Les contraintes HQE (Haute Qualité Environnementale) ont été respectées pour tous les aménagements et pour la conduite des travaux : l’isolation est à base de chanvre sur les murs, de laine de bois aux plafonds ; pour le chauffage, bois plaquette ou bois granules, etc. À l’intérieur, la lumière du jour a été privilégiée. Dans le bâtiment (1 800 m2 de surface utilisable) se trouvent au premier étage des salles de réunions et d’exposition (vannerie, objets d’artisanat en bois, documents photos), au deuxième étage les bureaux des 22 salariés, les services divers, etc. Le domaine représente 40 ha, loués par bail emphytéotique par la mairie. Il est prévu d’installer sur ces terres un agriculteur et éventuellement d’exploiter la source minérale située au pied du volcan.
Avant le départ, une dernière réunion a lieu dans la grande salle pour aborder des sujets particuliers tels que la révision de la charte (avec la modification possible du territoire concerné pour englober des communes de la Haute-Loire : Chaudeyrolles...), le programme européen « Leader », le partenariat avec la Sauvegarde sur le patrimoine industriel ou monastique. Il est près de 15h 30 et, après de chaleureux remerciements à M. Xavier Bernard-Sans, nous pouvons reprendre les voitures pour emprunter la route étroite et pittoresque qui, du pied du Chastelas, mène au château du Bruget.

Le château du Bruget

Château du Bruget Château du Bruget - Façade méridionale

Château du Bruget - à droite, la façade méridionale

Au-dessus de la porte, probablement les armes de la famille de La Tour de Beins

Au-dessus de la porte, probablement les armes de la famille de La Tour de Beins

Le château du Bruget appartient à la même famille depuis deux générations et l’un des propriétaires, Philippe Chevalier, est venu spécialement du Vaucluse pour nous recevoir. On trouve une famille Bruget (ou Bruzet) à Jaujac dès 1378. Le château actuel aurait été construit par la famille de La Tour de Beins au xviie siècle, sur des restes plus anciens. Puis il passa aux de Launay. Emmanuel de Launay, le fameux comte d’Antraigues, le vendit en 1780 à un avocat de Jaujac, Aimé Monteil. Bien national à la Révolution, il fut transformé en ferme et sauvé de la ruine dans les années trente par Georges Balaÿ et ses deux soeurs. Il a fait l’objet de restaurations à cette époque : consolidation de la façade, réfection de fenêtres, remontage de la grande cheminée.

Le château occupe une position dominante à flanc de montagne au-dessus de la vallée. Son plan de masse est identique à celui du château de Hautségur (situé dans la commune voisine de Meyras) : un rectangle, flanqué de deux tours au nord et, au sud, d’une tour ronde engagée dans la façade renfermant l’escalier. Cette tour serait peut-être plus ancienne que la façade sud et daterait du xive siècle, comme la façade ouest et la tour d’angle nord-ouest. La façade sud orientée vers la vallée est percée de plusieurs fenêtres rectangulaires et de meurtrières. Une pierre gravée d’armoiries a été trouvée en 1985 au-dessus de la porte d’entrée ; il s’agirait des armes de la famille de La Tour de Beins. De nombreux signes maçonniques sont dispersés dans le bâtiment.

Cheminée de la grande salle du premier étage

Château du Bruget - Cheminée de la grande salle du premier étage

Escalier à vis avec voûte en ombelle sarrasine

Escalier à vis avec voûte en ombelle sarrasine

À l’intérieur, nous pourrons surtout admirer de belles cheminées, en particulier celle de la grande salle du premier étage, avec son entablement mouluré soutenu par de fines colonnes à chapiteaux décorés. Cette cheminée a été remontée au cours des restaurations récentes et les dalles de pierre ont été récupérées à la suite de la réfection d’une chapelle d’Aubenas. L’escalier à vis aux magnifiques dalles de pierre se termine par une voûte en ombelle « sarrasine ». De là, une petite porte mène dans le grenier où la charpente d’origine a fait l’admiration des connaisseurs. En fin de visite, un apéritif est offert à la nombreuse assistance par Philippe Chevalier et sa famille. Grâce à eux, nous avons pu découvrir un des plus beaux éléments du patrimoine ardéchois et nous les en remercions. Leur action s’inscrit bien dans le projet de la Sauvegarde : « rechercher, faire connaître et contribuer à sauvegarder les monuments et objets d'art du département de l'Ardèche ».

Jacques Dugrenot (Castrevieille, église, promenade dans Jaujac et le Chastelas)
Bernard de Brion (Rochemure, PNR, le Bruget)
(Visite de la Sté de Sauvegarde du 19 mars 2010)